Gracieuse « Ballerina » (A England)

Je traine pour vous présenter cette collection que je me suis pourtant empressée d’acheter le jour de sa sortie… Vous avez vu des dizaines de swatches mais je ne pouvais pas faire l’impasse sur la gracieuse « Ballerina » de cette marque que j’aime tellement ! Après la magnifique collection Burne-Jones Dream, Adina Bodana revient cette fois avec quatre vernis holographiques dans des tons pastel inspirés de la danseuse de ballet britannique Margot Fonteyn.

Her Rose Adagio (A England)
Her Rose Adagio (A England)Her Rose Adagio (A England)Her Rose Adagio est un rose pâle holographique qui penche vers le pêche. Cette couleur très douce et féminine a un petit côté suranné à la fois élégant et très romantique.

Encore Margot (A England) // Fonteyn (A England)Au premier abord, j’ai cru que j’avais reçu les mêmes vernis. Mais non, Fonteyn et Encore Margot sont bien différents. Certaines diront qu’ils sont trop proches pour avoir envie d’acheter les deux ou que c’est une folie de sortir deux vernis quasi identiques dans une même collection. Ça serait oublier le plaisir que prend Adina à jouer avec la subtilité des nuances… Souvenez-vous de Camelot, le noir-noir et Lancelot, le noir avec une pointe de rouge ! Ou encore la collection des Gothic Beauties !

Encore Margot (A England) Encore Margot (A England) Encore Margot (A England)Encore Margot est un gris argenté holographique. Si je pinaillais, je dirais que c’est un gris froid aux trèèèès légers sous-tons bleutés. Ce n’est pas mon préféré de la bande, je lui préfère Fonteyn, mais c’est un joli vernis à avoir si vous ne possédez pas encore d’holo argenté.

Fonteyn (A England)Fonteyn (A England)Fonteyn (A England)Fonteyn (A England)Fonteyn est un lilas holographique dilué aux reflets lavande. C’est très floral comme description n’est-ce pas ? 🙂 Comme dans Princess Tears, on retrouve ce très léger voile qui se réveille dès que le soleil vient caresser la surface des ongles. Gros coup de cœur pour ce vernis tout en tendresse !

Dancing With Nureyev (A England)Dancing With Nureyev (A England)Dancing With Nureyev (A England) Dancing With Nureyev (A England) Dancing With Nureyev (A England)Dancing With Nureyev est un bleu grisé holographique avec une petite note métallisée violette. Un peu comme Rose Bower et Briarwood ! Vous avez vu ses reflets ? Incontestablement, Dancing With Nureyev est la teinte emblématique de cette collection, la plus vibrante et la plus éloignée des trois autres vernis « Ballerina »…

Opaques en deux couches (on pourrait les poser en une seule), on retrouve une nouvelle fois les ingrédients qui font la qualité des vernis A England : des reflets holographiques subtils, des teintes travaillées, une collection empreinte d’Art et d’Histoire. « Ballerina » rime sans conteste avec finesse, élégance et douceur !

Shopping : Pshiiit Boutique // 9EUR les 11ml

Her Rose Adagio, Encore Margot, Fonteyn, Dancing With Nureyev (collection Ballerina) par A England : base, deux couches, top coat

Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish)

Le week-end dernier, en plein swatchathon de vernis divers et variés, je me suis replongée avec émotion dans mon tiroir de vernis A England et j’ai eu une envie folle de porter Saint George. Le seul, l’unique, le tellement canon vert holographique aux reflets bleutés de la collection The Legend. Je vous l’accorde, ce n’est pas une nouveauté mais c’est une pépite à avoir dans sa vernithèque sans l’ombre d’un doute !

Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish)Je ne suis pas là pour vous refaire une description de Saint George, je voulais vous montrer une association que je trouve plutôt sympa en vous présentant un top coat à paillettes qui n’a pas encore eu son heure de gloire par ici, j’ai nommé Freeze Machine d’Enchanted Polish.

Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish)On voit beaucoup Freeze Machine posé sur du noir ou du bleu foncé et c’est vrai que c’est une solution qui permet de bien se rendre compte de la multitude de paillettes suspendues dans cette base transparente. Freeze Machine, c’est… Une pincée de la poudre holographique de Djinn in a Bottle, des petites paillettes bleues, des paillettes hexagonales et carrées dans les tons de bleu/vert/jaune et des paillettes « déchiquetées » iridescentes. Bien sûr, comme on parle de vernis enchantés, ce petit combo prend des reflets complètement fous en fonction de la luminosité !

Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish) Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish) Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish)J’ai donc dégradé Freeze Machine de la lunule vers le bord libre directement avec le pinceau. C’est une technique très simple à reproduire et dont je ne me lasse vraiment pas. A chaque fois le résultat est à la hauteur de mes espérances. Ici, j’aime particulièrement le côté « je me montre, ah non, finalement, je me cache » des paillettes de Freeze Machine. Et alors en plein soleil !! ❤ Voilà pour le petit billet rapide de ce dimanche ensoleillé. Vous avez vu la nouvelle bannière ? Ce doit être l’effet anniversaire. ^^ Le blog va bientôt souffler ses trois bougies et à force de préparer la petite fiesta qu’il y a aura bientôt ici, j’ai eu envie de changement ! Je vous souhaite une bonne fin de week-end sous le soleil et je vous dis à très vite.

Quand Saint George (A England) rencontre Freeze Machine (Enchanted Polish)Saint George (collection The Legend) par A England // Freeze Machine (collection Love a Lot of Glitter) par Enchanted Polish

[Nail Art] Halloween // Sugar Skulls

Je n’ai jamais célébré Halloween, c’est une fête qui ne me parle absolument pas. Déjà parce qu’elle ne fait pas partie de ma culture mais parce qu’en plus, cette période de l’année (Toussaint, jour des morts) est sensible sur un plan personnel. C’est un peu le moment de l’année où j’ai envie de déconnecter mon cerveau pour arrêter de ressasser les mauvais souvenirs. Pour une fois, j’ai eu envie de faire un pied de nez à mon habituel coup de blues en affichant sur mes ongles, non pas des fantômes, des cimetières ou des croix mais… Des Sugar Skulls !

Pour cette première manucure, je me suis inspirée d’un motif de calavera aperçu il y a très longtemps sur l’Instagram de la marque Illamasqua. Le tête de mort avait été entièrement dessinée avec des centaines de pois néons. Un vrai travail d’orfèvre ! J’ai tenté de reproduire ce motif sur mon annulaire. J’ai posé deux fines couches de Cotton Buds (Butter London) puis avec mes dotting tools, j’ai fait des pois de plusieurs couleurs. J’ai eu beaucoup de mal à faire ce que j’avais en tête par manque de place… Sur mes autres ongles, j’ai ressorti mon pailleté argenté Follow Me on Glitter (Nicole by OPI) qui me fait beaucoup penser à un des derniers vernis de la marque NCLA, My Dad Invented That. En guest, la dernière tranche d’orange confite au chocolat noir que j’ai eu le temps d’immortaliser avant de dévorer. Je n’aime pas Hallowwen, mais j’aime les confiseries ! ^^

Pour la seconde manucure, je me suis servie d’une plaque MoYou de la collection The Artist entièrement dédiée à l’art mexicain. Sur une base orange citrouille, j’ai donné quelques coups de pinceau éventail de Penny Talk (Essie) et Love is Enough (A England) pour donner un aspect patiné à mes ongles. J’ai ensuite stampé en noir les détails de fleurs sauf en accent nail où j’ai tamponné un crâne avec son petit noeud papillon. Au centre, j’ai collé une paillette libre orange cuivré avant de passer une couche de top coat. Comme je le disais sur Instagram, j’ai récemment acheté un vernis Konad noir. Jusqu’à présent, je me servais de Camelot de la marque A England. Bon, pas de doute, le noir Konad est beaucoup plus épais, plus pigmenté et a donc un fini très intense. Je l’adore mais… Et c’est un peu le revers de la médaille, c’est une véritable galère à nettoyer avec mon dissolvant habituel. Je crois qu’il va falloir que je m’équipe rapidement d’un petit récipient d’acétone !

Vous préférez laquelle des deux versions ? Vous avez fait une manucure particulière aujourd’hui ? Happy Halloween (pour celles qui le fêtent), moi je file hiberner pour le week-end. On se retrouve la semaine prochaine, j’ai quelques billets sous le coude et j’aurai retrouvé ma liberté (les vacances se termiiiiiiiinent, youpiiiiiii) ! Des bisous les filles ❤

Shopping :
> Cotton Buds (Butter London) // Pshiiit Boutique
> Plaque The Artist #11 // MoYou London (-15% avec le code 15OFF)

Manucure « Sugar Skull à pois » réalisée avec Follow Me on Glitter (Nicole by OPI), Cotton Buds (Butter London), vernis de différentes couleurs pour faire les pois (choisissez-les bien pigmentés), dotting tool // Manucure « Sugar Skull stampé » réalisée avec Chop-sticking to my Story (OPI) en base, Penny Talk (Essie), Love is Enough (A England), Special Black (Konad), The Artist #11 (MoYou London), pinceau éventail, paillettes libres

Flambe l’automne… // Briarwood (A England)

Voilà un vernis qui a fait son apparition quelques semaines après ses petits frères de la collection Burne-Jones Dream. Je dois vous avouer que sur les premiers visuels qui circulaient à l’époque, je n’étais pas particulièrement enthousiaste. Ca m’arrive souvent avec les vernis de la marque… Les teintes sont tellement travaillées que, quand ce n’est pas l’amour au premier regard, il me faut un peu de temps avant de me laisser charmer. Ceci dit, quand les quatre premiers vernis de la collection sont sortis, je ne me suis pas posée des milliards de questions et je les ai directement embarqués (pour relire les billets consacrés à Briar Rose + Sleeping Palace // Fated Prince + Rose Bower, n’hésitez pas à cliquer sur les liens). Si vous vous souvenez, outre mon coup de coeur confirmé pour Sleeping Palace, je me suis surprise à tomber en adoration devant Rose Bower, le joli rouge rosé de la collection. Puis Briarwood * est arrivé dans ma boîte aux lettres et je suis tombée en extase devant ce petit morceau d’automne en flacon.

Comme Rose Bower, Briarwood est fait du même bois (huhu, on met ça sur le compte de la fin de semaine ? ^^). Dans sa base métallisée aux couleurs chatoyantes flottent de toutes petites particules holographiques. Tantôt lie de vin, tantôt rougeoyant, tantôt brun, Briarwood est opaque dès la première couche et ne laisse aucune trace de pinceau.

Briarwood arrive donc ex-aequo avec Rose Bower dans mon classement des plus jolis précieux de la collection Burne-Jones Dream. Très pigmentée, cette teinte s’annonce parfaite pour la saison automnale, à la fois riche et vibrante avec la petite touche de magie A England. Je vous laisse avec un extrait d’un poème de Charlotte Serre qui aurait pu être une ode au dernier petit bijou d’Adina…

Feuille d’automne

Bijou vermeil

Qui tourbillonne

Dans le soleil,

Flambe l’automne

Pourpres et ors

Qui vermillonnent

Tel un trésor.

Shopping : Pshiiit Boutique // 9EUR les 11ml

Briarwood (collection Burne-Jones Dream) par A England : base, 2 couches, top coat.

* Produit(s) envoyé(s) par la marque, l’agence RP, le revendeur pour considération

Paillettes et complexité // She Walks in Beauty (A England)

Bonjour, bonjour ! Un petit billet rapide parce que je me rends compte que les vacances ont eu raison du blog… Promis je reviens vite avec des billets plus complets et même deux jolis concours qui devraient vous plaire.

En attendant, je vous présente un vernis auquel j’ai très longtemps résisté, She Walks in Beauty, de la collection Heavenly Quotes de la marque très chère à mon coeur A England. Je dis « résister » mais le terme n’est pas vraiment le bon. Depuis sa sortie, j’ai été fascinée par ses paillettes tout en étant complètement décontenancée par la façon qu’avaient les blogueuses de les poser : seules en plusieurs couches ou sur du noir en un seul passage… Et pourtant je ne pouvais pas passer à côté des premières « vraies » paillettes d’Adina, de celles qui ressemblent à certaines marques indies, de celles qui sont tellement complexes qu’elles vous en mettent plein les yeux.

She Walks in Beauty est à la fois paillété, iridescent, métallisé et légèrement duochrome. Tout ça ! Dans une base transparente (peut-être est-elle rosée en fait, difficile à dire ^^) se bousculent des petites et grosses paillettes hexagonales de couleur rose poudré ainsi que des micro-paillettes dorées. Un vrai vernis de princesse que je trouve très difficile à porter (dingue hein ?) sauf peut-être comme ici sur une base nude.

De l’amour au désamour il n’y a qu’un pas et pour la première fois avec la marque, je ne sais pas trop sur quel pied danser ! Je l’aime porté en dégradé, je ne l’aime pas sur base noire. Je l’aime sur des teintes toutes douces mais pas en total look, son aspect hyper métallisé, presque foil, me fait peur. Quoi qu’il en soit, le vernis reste de très bonne qualité comme tout ce que nous propose la marque. Je crois juste qu’il faut que j’apprenne à apprivoiser la complexité des paillettes de She Walks in Beauty… Mais pour ça, il me les fallait dans ma collection. C’est chose faite ! Que pensez-vous de She Wlaks in Beauty ? Vous aussi vous entretenez ce genre de « relation » avec certains de vos vernis (dites ouiiiiii, histoire que je me sente moins seule) ? Lesquels ?

Shopping : Pshiiit Boutique // 9EUR les 11ml

She Walks in Beauty (collection Heavenly Quotes) par A England : base, dégradé en deux couches sur You Callin’ Me a Lyre (OPI), top coat

J’ai testé (et adoré) les nail-art foils !

Voici encore une manucure que je me dois de partager tout de suite maintenant avec vous. Je n’étais pas persuadée d’aimer le principe du foil : trop voyant, résultat approximatif, mise en oeuvre délicate. Puis Born Pretty Store m’a proposé de choisir un article de leur catalogue d’accessoires nail-art pour en faire une revue sur le blog et j’ai jeté mon dévolu sur un rouleau de transfert. Sans conviction, plutôt par curiosité…

Quand je l’ai reçu, grosse déception, il y a un monde entre le visuel proposé sur le site et l’article que j’ai en main. (Et j’ai envie de dire que c’est LE reproche que je pourrais faire à Born Pretty, les photos des produits manquent cruellement de réalisme !) J’attendais un rouleau tout simple avec un joli dégradé bleu-vert et je me retrouve avec un dégradé rose-violet-bleu-vert-jaune et surtout un effet mosaïque qui ne me plaît vraiment pas et qui me fait dire que, non, les foils ne sont pas faits pour moi. Bling-bling bonjouuuuur !

Le principe des foils est simple. C’est un rouleau de papier plastifié d’1,50m de long auquel est collé une très fine pellicule métallisée qui vient se décalquer sur l’ongle. Normalement, ça s’utilise avec de la colle spéciale foils pour la mise en place et un top coat spécifique pour ne pas faire craqueler le motif. De mon côté, j’ai décidé de l’appliquer de façon plus rock’n’roll en me servant simplement de mon vernis de base, ici mon noir chouchou Camelot de la marque A England.

Après avoir posé mes deux couches de couleur sur ma base habituelle, j’ai découpé deux petites bandes de 3 cm de large (une largeur par main suffit amplement) et j’ai patiemment attendu que le vernis soit sec mais pas tout à fait. C’est cette étape là la plus délicate finalement puisqu’il faut que le vernis soit encore légèrement collant mais suffisamment sec à coeur pour ne pas que l’étape suivante arrache tout. Puis je suis venue « tamponner » mon morceau de foil sur ma base noire en veillant à ne pas recouvrir intégralement l’ongle et en essayant de déposer un peu de toutes les couleurs présentes sur le foil. Ce qui est génial avec cette technique, c’est qu’elle est complètement modulable ! Soit vous souhaitez un résultat soft (comme sur mon pouce) dans ce cas vous ne ferez que deux passages légers de coller/décoller, soit vous voulez en mettre plein la vue (comme sur mon majeur) et là vous répéterez l’opération 3 à 4 fois en appuyant plus fort sur le foil.

Une couche de Hardwear plus tard et voilà ! C’est tout simple et je trouve le résultat dingue, depuis hier, je n’arrête pas de regarder mes ongles. Je suis ravie de ce rouleau #21 puisque finalement le panel de couleurs est plus large que ce à quoi je m’attendais (donc les possibilités plus nombreuses) et l’effet mosaïque ne se retrouve pas sur les ongles. Les foils 1 – Les a priori de Bé 0 ! Vous connaissez cet accessoire de nail-art ? De mon côté, je vais tenter la même manucure sur une base nude et je risque de craquer prochainement pour d’autres motifs. Bon, sans doute pas les léopards ^^ mais probablement le doré, l’argenté et le dégradé dans les tons jaune/orangé/rouge…

Shopping : Born Pretty Store // 2,99$ le rouleau de transfert // 10% de remise avec le code FBL91 et frais de port offerts

Manucure réalisée avec Camelot (A England) et les nail-art foils #21 (Born Pretty Store)

* Produit(s) envoyé(s) par la marque, le revendeur, l’agence RP pour considération

[Nail-Art] Mes studs néons se la jouent graphique !

C’est très rare que je vous montre sur le blog ce que je porte sur mes ongles en temps réel, il y a toujours un décalage de quelques jours. Mais pas aujourd’hui ! Aujourd’hui, j’ai eu envie de farfouiller dans mes tiroirs à vernis, de laisser monter l’inspiration et de partager le résultat avec vous sans attendre…

J’ai commencé par jeter mon dévolu sur Concret Catwalk, le bel anthracite de China Glaze. Deux couches plus tard, j’ai tracé une ligne verticale de la lunule au bord libre directement avec le pinceau de mon vernis noir. J’aurais pu faire ça au scotch pour avoir un vraie belle ligne parfaite et régulière mais j’y suis allée directement parce que je voulais un résultat structuré mais pas trop. Rapide, efficace et un peu bordélique. Et ouais, aujourd’hui, je suis rebelle ! ^^

Puis j’ai dégainé ma roulette de studs et pour casser le côté sévère de la première partie de la manucure, j’ai attrapé quelques studs NEONS ! Pour faire tenir les studs, j’ai profité du vernis pas encore tout à fait sec pour les enfoncer tout doucement dans la matière. Pour l’autre main, le vernis était sec, dommage pour moi. Dans ce cas, on passe par une petite étape supplémentaire en déposant une mini goutte de top coat sur l’ongle pour faire tenir le stud.

Une couche bien épaisse de top coat pour protéger la manucure et sceller les studs et voilà, j’ai ma manucure remonte-moral à la fois hyper graphique et avec juste ce qu’il faut de folie pour finir la semaine de bonne humeur ! J’en profite pour vous dire que la gagnante du concours Mastercoiff est annoncée en edit du billet et pour vous souhaiter un excellent week-end. A bientôôôôôt ! 🙂

Shopping : Vous trouverez les studs néons chez Born Pretty Store // 10% de remise avec le code FBL91

Manucure réalisée avec Concrete Catwalk (China Glaze), Camelot (A England) et quelques studs néons.

Fated Prince (A England) // Rose Bower (A England)

Après Briar Rose et Sleeping Palace, on continue notre tour d’horizon de la nouvelle collection A England avec Fated Prince et Rose Bower… Attention, même punition qu’hier, avalanche de photos !

Fated Prince, le prince de la Belle au Bois Dormant, est le vernis le plus « masculin » de la bande. Dans une base taupe grisé flotte des micro-paillettes holographiques. Avec Fated Prince, la créatrice d’A England nous prouve une nouvelle fois combien elle affectionne les teintes sombres qui donnent beaucoup de chic aux mains. Ne croyez pas que ce précieux là est une nouvelle version de Dorian Gray (plus gris, plus foncé que Fated Prince) ou d’Ascalon. Son seul petit défaut, mais en est-ce vraiment un, c’est qu’il lui faudra impérativement deux couches pour être parfaitement opaque.

Rose Bower, c’est la surprise de cette collection et mon deuxième chouchou. Surprise parce qu’en plus d’être holographique (les particules sont même plus fines et moins nombreuses que dans les trois autres Burne-Jones Dream), Rose Bower est métallisé. Et oui, un rouge rosé métallisé opaque en une seule couche, terriblement glamour et qui ne laisse pas de traces de pinceau ! Du bonheur en flacon…

Burne-Jones Dream est sans nul doute la collection la plus féminine de toutes celles sorties jusqu’à présent. A England renoue pour mon plus grand plaisir avec les teintes chatoyantes de ses débuts et les textures travaillées qui m’ont séduites lorsque j’ai découvert la marque. Zéro faux-pas pour cette collection à 100% indispensable !

Shopping : Pshiiit Boutique // 9EUR les 11ml

Fated Prince (collection Burne-Jones Dream) par A England : base, 2 couches, top coat // Rose Bower (collection Burne-Jones Dream) par A England : base, 1 couche, top coat

Briar Rose (A England) // Sleeping Palace (A England)

Après les Gothic Beauties qui m’avait un peu laissée sur ma faim, j’attendais avec impatience de mettre la main sur la dernière collection A England. Adina continue de mêler, cette fois encore, légendes et flacons emprunts d’Histoire pour créer une collection intitulée « Burne-Jones Dream ». Inspirée d’une série de peintures du préraphaélite Edward Burne-Jones sur le conte de la Belle au Bois Dormant, la nouvelle collection est composée de cinq teintes (dont une sortira un peu plus tard). Je vous propose aujourd’hui de découvrir Briar Rose et Sleeping Palace.

Briar Rose (Sleeping Beauty) est le vernis de la Belle au Bois Dormant. Couleur bois de rose, c’est une teinte douce et surannée qui révèle des reflets tantôt magentas, tantôt dorés en fonction de la lumière. Constellé de paillettes holographiques, Briar Rose est couvrant dès la première couche. Comme vous vous en doutez, j’ai préféré poser une deuxième couche mais plus pour la forme que parce qu’il en avait vraiment besoin.

Sleeping Palace est le vernis qui représente le palais de la Belle au Bois Dormant. C’est surtout mon number one chouchou de la collection. Vous vous souvenez de l’effet que m’a fait Saint George de la collection The Legend en son temps ? Voilà tout est dit ! Pour moi, si vous ne deviez en avoir qu’un seul, ce serait lui. Sleeping Palace est un aubergine grisé lui aussi saturé des paillettes holographiques qui ont fait la réputation de la marque. Au hasard de la lumière, il prend des reflets cuivrés du plus bel effet ! Egalement opaque dès la première couche, Sleeping Palace est sans hésiter un must-have…

Alors les filles, vous pensez quoi de cette première partie de collection ? On se retrouve dès demain pour la suite avec Fated Prince et Rose Bower.

Shopping : Pshiiit Boutique // 9EUR les 11ml

Briar Rose (Sleeping Beauty) (collection Burne-Jones Dream) par A England : base, 2 couches, top coat // Sleeping Palace (collection Burne-Jones Dream) par A England : base, 2 couches, top coat

Une armure pour le Roi // King Arthur (A England)

King Arthur a été un des premiers vernis A England à rejoindre ma collection et je me rends compte qu’il n’a pas encore eu droit à son billet de présentation même s’il a déjà fait quelques apparitions deci delà sur le blog… Voici donc une revue rapide d’un vernis qui date un peu dans le monde des NPA (bah oui, depuis Adina a déjà sorti deux nouvelles collection, The Legend et Gothic Beauties, et vient même d’enrichir Heavenly Quotes de deux nouveaux bébés à découvrir en images ici) mais qui est un must-have si jamais vous êtes encore à la recherche d’un vernis gris métallisé. Ne cherchez plus, c’est lui !

King Arthur est un vernis gris argenté métallisé, assez sombre, un peu comme une armure de chevalier. Comme d’habitude avec les vernis de la marque, l’application est un sans-faute, l’opacité se fait en deux couches et le temps de séchage est rapide. Sur les photos, vous le voyez après déjà trois jours sur mes ongles (et une couche de top coat Poshé, la preuve donc que sur moi, aucun problème de couleur qui se rétracte…).

En grande fan de gris, j’ai acheté King Arthur sensiblement en même temps que Tao de Zoya. Il s’avère qu’en fait, même si ce ne sont pas des dupes, ils sont assez similaires pour ne pas avoir besoin d’avoir les deux dans sa vernithèque. Oui, je suis une collectionneuse, mais je déteste les doublons ! ^^ Alors que King Arthur a une légère petite pointe de bleu (graou <3), Tao a le gros désavantage (en dépit d’une facilité d’application extraordinaire typique chez Zoya) de laisser des traces de pinceau.

C’est comme ça que j’ai fini par revendre Tao pour ne garder que King Arthur, le roi des rois, l’élu des gris métallisés !

King Arthur (collection The Mythicals) par A England : base, 2 couches, top coat